Sadidette de son état.
Yahelwen, chose rare chez les sadidas, éprouve une attirance très forte pour l'élément aquatique. Toute petite déja, c'est quand il pleuvait qu'elle préferait la forêt, et elle pouvait passer des heures à se prélasser à la surface d'un étang. D'ailleurs, la chance insolente qu'elle avait en jouant avec ses camarades sadidas y trouvait peut-être une explication...
Bref, ce fut naturellement qu'elle se lança dans l'étude des fluides circulant sous la surface de la terre et dans les végétaux, qui finirent par se réveler une arme redoutable quand ils sont correctement canalisés contre un ennemi...